…Et de trois…
Le titre n’est pas un hommage à Bashung, même s’il le mériterait, mais bien un désir, une utopie personnel: ne plus sentir le poids de mon corps, pourtant très relatif (48kg toute mouillée /pas épilée), afin de passer enfin UNE nuit sereine.
Alors,
oui, j’ai pris un risque inconsidéré: je me suis endormie presque
allongée (deux mois que je dors plus ou moins assise pour cause de
coqueluche et cage thoracique fissurée de-ci de-là ) ET, position fort
téméraire de ma part, sur le coté. Tel Elephant Man qui rêvait de dormir une fois dans sa vie comme tout être humain dit « normal »
(allongé donc), ET qui en paya de sa vie, je l'ai moi, payé d’une cote fêlée: la troisième, en deux mois, vous conviendrez que c’est une... ou deux…ou trois de trop !
Effectivement, en ce moment, je suis en sucre mais en même temps, je ne suis pas morte comme Elephant Man et c'est déjà ça!
… Et de quatre…
Ma
bonne dame, soyez indulgente, j’ai été super nulle, c’est vrai, MAIS je
suis exténuée en ce moment. Ça compte tout de même… ?...suis vraiment
indigne ?...encore ?...
Bref, j’ai oublié d’aller chercher les filles à l’école.
Et pas que les miennes, non, non, non, QUATRE D’UN COUP, tant qu’à faire (deux à moi/deux pas à moi)!!!
Mon
mot d’excuse: semaine confuse avec jour férié et rattrapage le
mercredi, routine contrariée donc + grooOOOsse fatigue comme expliquée
ci-dessus) + boulot chronophage sur ordinateur + gros pas de bol. En
effet, me connaissant (39ans que je vis dans ce corps-ci, je commence à
en connaitre ses limites, sa mémoire de poisson rouge par exemple), je
fais sonner des alarmes quotidiennement pour ne pas louper l’heure de
l’école. Sauf qu’il s’agit d’une alarme téléphonique, et
ce jour là, vous qui êtes vif d’esprit, vous l’avez déjà compris, ben
j’étais au téléphone au moment où ça aurait dû sonner. Ah bah oui, c’est
ballot (ça n’a pas pu sonner du coup)…En vérité, quand j’ai vu l’heure
qu’il était (une demi-heure de retard, entre midi et deux, ça bouleverse
considérablement l’organisation mais ça reste sauvable), j’ai eu envie de pleurer, sentie trop nulle, débordée, mal partout, fatiguée, enfants
surement inquiets, parents qui n’aurons plus confiance, instits
perplexes…bouh.
JE N’ARRIVE PLUUUUS A TOUT FAIIIIRE…snif et re-bouh.
Et
pourtant je prend le temps de blogger me direz-vous, oui mais là, il
est tard, les gosses dorment (et c’est une bonne chose…n’ont pas été
très traumatisées finalement), mon homme est parti (non mais il devrait
revenir demain si tout va bien), alors je fais ma pause thérapie
collective: partager avec vous mes moments de solitudes.
J’enchaine
ainsi tout en douceur sur le sujet de la prochaine chronique et j’en
profite pour illustrer de photos qui elles, n’ont rien à voir avec le
reste, mais comme je viens de les faire et que j’en suis plutôt
contente, je partage aussi :
Alors,
il s’agit de L’enlèvement de Polyxène de Pio Fedi, seule statue moderne
datant de 1866 dans la loggia della signoria à Florence.
Tout ça pour dire qu’en travaillant la première image en noir et blanc, j’ai été particulièrement frappée par le travaille de la main, son aspect hyperréalistes m’a profondément touchée. Déjà que j’ai régulièrement envie de pleurer (oui, je sais, je pleure
souvent), quand je vais à Florence, je suis toute bouleversifiée (je me comprends) devant tant d'œuvres artistique
majeures, et si le charme continu d’opérer en photo alors, comment vous dire ... Joie!!!
La suite des images est par là (une nouvelle planche photo de statues ajoutée aux planches de Toscane):
blog/photos-cat-354130-1948733034-toscane_.html
Et toujours un peu plus d'actualités sur la page facebook du site :
https://www.facebook.com/pages/Chroniques-dune-m%C3%A8re-au-foyer-mais-pas-que/1406337782921699
... MÈRE AU FOYER MAIS PAS QUE.
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