19/09/2015

Libérée, délivrééééée (suite) !...


C’est la rentrée donc !...
Enfants casés certes MAIS emploi du temps tout pourri  pénible : finissent bien trop tôt mes mômes !
Quand vais-je donc pouvoir chroniquer (rien d’obscène à cela), jouer à la faiseuse d'images (ma technique: d'abord, bien traiter son image à la prise de vue et ensuite...la maltraiter en post-traitement), pianoter (me suis remise au piano: certains pensent avoir réussi leur vie s'ils ont une rollex à 50 ans, moi j'aimerais juste terminer l'allegretto de la 7ème symphonie de Ludwig à cet age là...), ramer (ai acheté un rameur aussi…et de manière générale, comme tout le monde, je rame aussi parfois dans l’existence…ça occupe…) et…bosser (accessoirement) ?
Tout en écrivant cette chronique, je caresse mon chat qui fait semblant de dormir et qui doit maintenant penser que son deuxième prénom officiel est « Ça-va-c’est-pas-trop-dur-la-vie » au vu de la répétitivité (l’est rigolo ce mot !) de cette question/assertion.

Quelqu’un a dit, sur facebook (ou dans un vrai livre mais moi je l’ai lu sur facebook en procrastinant comme tout le monde) : « Que faites-vous dans la vie ?...Je fais de mon mieux ».
Et bien, c’est assez juste.
C’est d’ailleurs ce que je dis aux filles lorsque je fais des crêpes (enfin, lorsque je rempli des galettes toutes faites de gruyère et/ou jambon et/ou œuf…) qui ne ressemblent généralement à rien (imaginez si j’avais en plus fait la pâte !) : restent à moitié collées dans la poêle, trop grillé d’un côté, trop mou de l’autre…
Pour être honnête, l’autre soir, j’ai réussi à encore plus les louper (comme quoi, tout est possible) ! J’ai prévenu les filles pour qu’elles ne s’affolent pas puisqu'il y avait un gros tas de truc gluant avec des bords cramés dans leur assiette. Aucune ressemblance avec une crêpe possible donc. Pour la mienne, summum de la cuisine approximative, je suis parvenu à éjecter de la poêle le jaune de l’œuf  (que le jaune, hein, pas le blanc : suis trop forte !) en la retournant, il a échoué directe sur le bord de la plaque chauffante, continuant ainsi sa cuisson hors galette (et hors tout pour être exacte).
Incrédulité, désespoir (un œuf bio de perdu ET toute la plaque à nettoyer), odeur atroce (l’œuf cramé, ça pue sévèrement)… Qui a dit « un œuf de perdu, dix de retrouvés ? » Ça marche pas pour les œufs ce truc-là (déjà que pour les filles…).
…Ai fini par acheter une nouvelle spatule beauuuucoup plus large (pour ma défense, l’autre était cassée de moitié) : beauuucoup plus simple maintenant (enfin, jusqu’au prochain record d’acte manqué culinaire qui ne saurait tarder…vous tiendrais au courant si ça vous amuse…)

Les crêpes, ça ressemble à la lune (oui, bon, pas trop miennes en fait…) :
 


Jules Verne a écrit « De la terre à la lune », personnellement, j’expérimente plutôt « De la crêpe à la terre »…chacun son truc, et ce qui est sûr, c’est que mon truc à moi, ben c’est pas la galette (j’ose espérer que je suis meilleur en « imagettes »…).
La suite des photos par ici : blog4ever.com/photos/rivages-industriels-1 




CHRONIQUES D'UNE MÈRE AU FOYER

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